LES PREUVES DE L’EXISTENCE DE DIEU

 

 

Est-ce que Dieu existe ? Quelles sont les preuves de l’existence de Dieu ? Quels sont les arguments donnés par les théologiens, par les philosophes ? Y a-t-il des preuves scientifiques ?

 

 

 

 

Les intuitions, les indices surnaturels, les arguments religieux :

 

La question de l’existence de Dieu, et avant le monothéisme celle de l’existence « des » dieux, est un problème vaste et très ancien. De tout temps cependant, des civilisations nombreuses ont pensé ressentir cette présence qui organise le monde, qui fait que l’Univers est régi par des lois infrangibles. Si le nom donné à cette force est variable, nos ancêtres se sont appuyés sur des intuitions extrêmement proches, malgré des époques et des lieux pourtant très éloignés, comme on le voit notamment dans l’ouvrage pdf (totalement gratuit) et téléchargeable via ce lien : « l’évangile selon le monde ». Par le passé, on s’est reposé également sur les visions de personnes ayant vécu des expériences surnaturelles, affirmant avoir reçu des révélations divines que l’on pourrait évidemment discuter, mais qui sont tout aussi nombreuses et troublantes. Et certaines sont vérifiables en un sens : c’est le cas de celles qui annoncent des événements à venir, fortement reliés selon ceux qui les décrivent à une volonté et une annonce divine, et qui sont effectivement survenus. Il en est ainsi par exemple des détails de la vie et du supplice de Jésus, qui se sont produits dans des conditions extrêmement proches de ce qui avait été annoncé. En effet, plusieurs siècles avant la Crucifixion, on pouvait lire par exemple dans les Psaumes : « Tu dresses devant moi une table » (Ps 23,5), une image qui sera au centre de l’iconographie chrétienne avec le repas de la Cène. On pouvait lire aussi, dans le livre d’Isaïe cette fois-ci : « Il a été transpercé à cause de nos péchés, écrasé à cause de nos crimes » (Is 53,5) qui résume, plusieurs siècles auparavant, presque toute la doctrine chrétienne. Ces mots résonnent d’une façon stupéfiante avec les Psaumes à nouveau : « Ils ont transpercé mes mains et mes pieds » (Ps 22,17). Poursuivant ce dialogue entre les livres de l’Ancien et du Nouveau Testament, on pouvait lire encore, sous la plume d'Isaïe, et toujours dans le même chapitre 53 : « Il faisait sa tombe avec les méchants, et avec la richesse dans sa mort » (Is 53,9). Or les Évangiles nous relateront là encore que Jésus a été crucifié entre deux criminels (Mt 27,38), et enterré dans la tombe d’un homme riche (Mt 27,57-60). Et de nouveau dans ce même livre d’Isaïe : « Il a plu à Yahweh de le briser par la souffrance; mais quand son âme aura offert le sacrifice expiatoire, il verra une postérité, il prolongera ses jours, et le dessein de Yahweh prospérera dans ses mains » (Is 53,10). En effet Jésus sera sacrifié et mourra en souffrant, mais selon les chrétiens il ressuscitera pour se montrer comme Fils de Dieu pour l’éternité, et à l’origine d’une église nouvelle et universelle.

De nouvelles prophéties concernant ce qui apparaîtra être Jésus se trouvaient dans d’autres parties de la Bible comme le livre de Zacharie cette fois-ci, dans lequel on trouve des mots qui résonneront étonnamment juste après que Jésus ait chassé les marchands du Temple environ cinq cents ans plus tard : « Et il n’y aura plus de marchands dans la maison de l’Éternel des armées en ce jour-là » (Zc 14,21). Les prophéties de Zacharie ne sont pas moins claires quand on y lit : « Et ils pesèrent mon salaire : trente sicles d’argent… Et je pris les trente sicles d’argent et les jetai dans le Temple du Seigneur, dans le trésor » (Zc 11,12-13). On repense alors à la trahison de Judas pour… trente pièces d’argent, lui qui était le trésorier des fidèles de Jésus. Beaucoup de ces prophéties réalisées peuvent être relues dans cet autre ouvrage pdf (totalement gratuit) et téléchargeable via ce lien : « l’évangile selon les prophètes et les mystiques ». Bien sûr on pourra penser que des détails de la vie de Jésus auront été présentés de façon à réaliser les prophéties rédigées bien avant, mais ils sont si nombreux, ou alors si directement liés à la crucifixion par exemple et donc à ce qui a vraiment été vécu par plusieurs à l’époque de Jésus, que rien ne peut faire douter de la possibilité du sort subi par Jésus, mais annoncé des siècles auparavant de façon très troublante.

D’autres faits peuvent faire pencher vers l’acceptation de phénomènes surnaturels qui seraient alors autant d’indices de réalités qui nous dépassent, que la Science ne peut expliquer, et qui se présentent eux-mêmes comme divins ce qui en fait logiquement des éléments de preuves de l’existence de Dieu : on peut ici penser aux miracles, importants également dans la religion chrétienne depuis Jésus qui en aurait réalisé de nombreux selon les évangiles jusqu’à ceux opérés par tous les saints de l’église catholique. En effet, avant que ces derniers ne soient canonisés, une enquête poussée doit valider la réalité de miracles en lien avec ces saints. Or ces faits surnaturels sont considérés comme des miracles lorsque la Science, y compris la Science moderne pour les saints les plus récents, est incapable d’en donner une explication. Dans cette catégorie on pourra évoquer également les miracles réalisés par l’intercession de Marie comme à Lourdes, ou encore les apparitions mariales, dont plusieurs sont très récentes et se sont produites devant de nombreux témoins, certaines ayant même été photographiées ou filmées : pour en savoir plus sur ce sujet on pourra retrouver par exemple l’évocation de plusieurs dizaines de miracles et d’apparitions mariales sur le site « 1000 raisons de croire ».

 

Les arguments théologiques et philosophiques :

Les philosophes ont proposé plusieurs arguments pour prouver l’existence de Dieu au fil des siècles. Voici quelques-uns des principaux types de preuves :

Preuves cosmologiques : ces arguments partent de l’existence du monde et de son ordre pour en déduire l’existence d’un premier moteur ou d’une cause première. Aristote et saint Thomas d’Aquin sont des figures clés de cette approche. Dans sa Physique et dans sa Métaphysique, Aristote a proposé ces principaux arguments : Le Premier Moteur Immobile : Aristote observe que tout mouvement doit être causé par quelque chose. Il conclut qu’il doit y avoir un premier moteur qui n’est pas lui-même mis en mouvement par autre chose. Ce premier moteur immobile est ce qu’Aristote identifie comme Dieu. La Cause Première : selon Aristote, il doit y avoir une cause première qui est à l’origine de toutes les autres causes. Cette cause première est nécessaire pour expliquer l’existence et le mouvement de tout ce qui existe. L’Ordre et la Finalité : Aristote remarque l’ordre et la finalité dans la nature. Il soutient que cet ordre ne peut pas être le résultat du hasard, mais doit être le produit d’une intelligence supérieure qui organise le cosmos. Ces arguments ont été influents et ont été repris et développés par des philosophes ultérieurs, notamment saint Thomas d’Aquin qui, lui, a proposé cinq voies pour démontrer l’existence de Dieu dans sa célèbre œuvre, la Somme théologique. La première voie, le premier argument est la voie du mouvement : tout ce qui est en mouvement doit être mis en mouvement par quelque chose d’autre. Il doit donc y avoir un premier moteur immobile, que nous appelons Dieu. La deuxième la voie de la causalité efficiente : tout effet a une cause, et il doit y avoir une première cause non causée, que nous appelons Dieu. Puis la voie de la contingence : les choses contingentes existent mais pourraient ne pas exister. Il doit donc y avoir un être nécessaire qui existe par lui-même et qui cause l’existence des autres, que nous appelons Dieu. Puis encore la voie des degrés de perfection : les êtres présentent divers degrés de qualités (bon, meilleur, etc.). Il doit y avoir un être parfait, source de toute perfection, que nous appelons Dieu. Enfin la voie de la finalité : les choses dans la nature agissent en vue d’une fin. Il doit y avoir une intelligence qui dirige toutes choses vers leur fin ultime, que nous appelons Dieu. Ces voies sont des arguments philosophiques qui cherchent à montrer que l’existence de Dieu est rationnellement justifiable.

Preuves téléologiques : ces arguments se basent sur l’ordre et la finalité observés dans le monde pour conclure à l’existence d’un créateur intelligent. Platon, Aristote et Leibniz ont utilisé ce type de preuve. Leibniz soutient notamment que tout ce qui existe doit avoir une raison suffisante pour son existence. Il conclut qu’il doit y avoir une cause ultime, nécessaire et non contingente, qui est Dieu. Observant l’harmonie et l’ordre dans l’Univers, il en déduit que cette harmonie ne peut être le résultat du hasard, d’où l’existence d’un créateur intelligent qui a organisé le monde de manière harmonieuse. Selon lui, le mouvement et l’existence des choses nécessitent une création continue par une puissance divine. Il affirme que sans cette création continue, le mouvement et l’existence ne pourraient pas être maintenus. Nous nous approchons là des arguments des scientifiques, comme nous le verrons plus bas, qui sont nombreux à déduire l’existence de Dieu de l’observation de la nature et des lois de l’Univers.

Preuves ontologiques : ces arguments partent de l’idée même de Dieu pour en déduire son existence. Anselme de Cantorbéry et Descartes sont connus pour leurs défenses de cette preuve.

Preuves morales : ces arguments suggèrent que l’existence de Dieu est nécessaire pour expliquer l’ordre moral du monde. Kant est un représentant notable de cette approche.

 

 

Les arguments scientifiques :

Les scientifiques sont nombreux à déduire l’existence de Dieu de l’observation de la nature et des lois de l’Univers. Parmi les faits qui les font pencher dans ce sens, la preuve de l’existence du Big Bang, qui est une sorte de version scientifique du livre biblique de la Genèse et qui induit l’idée d’une cause première qui pourrait être Dieu. Autre fait troublant, celui de l’ajustement fin de l’Univers : cet argument repose sur l’observation du fait que les constantes physiques intervenant dans les lois physiques régissant l’Univers sont extrêmement bien ajustées pour permettre la vie. Il suffirait de modifier d’une décimale l’une ou l’autre de ces constantes pour que l’Univers n’existe plus, ou soit totalement différent. Le grand astrophysicien Stephen Hawking, pourtant athée, a par exemple affirmé que : « la coïncidence la plus impressionnante concernant l’ajustement précis des constantes universelles concerne la constante cosmologique ». Un ensemble de coïncidences qui ressemble à un miracle, et certains scientifiques parmi les plus renommés lâchent même le mot. Ainsi le cosmologiste Larry Abbott, athée lui aussi : « En fait, il doit y avoir une miraculeuse conspiration entre les paramètres connus et inconnus gouvernant la physique des particules ». Comme lui, le prix Nobel Robert Laughlin ne peut que se rendre à cette conclusion : « Le fait que la constante cosmologique soit si petite nous indique que la gravitation et la matière relativiste emplissant l’Univers sont fondamentalement reliées d’une façon mystérieuse que nous ne comprenons toujours pas, puisque l’alternative requerrait un miracle époustouflant ». Trinh Xuan Thuan résume les choses ainsi : « L’Univers semble réglé de façon précise dès sa naissance, pour l’apparition de la vie et de la conscience ». « À ce problème il n’existe que deux issues possibles : soit un dieu créateur, soit le pur hasard. Dans l’hypothèse du hasard, la probabilité d’obtenir un Univers comme le nôtre fut au minimum estimée à 1 chance sur 10 exposant 60 » chiffrent par exemple Michel-Yves Bolloré et Olivier Bonnassies dans leur ouvrage Dieu, la Science, les preuves. Pour ceux qui ne seraient pas ou plus familiers des puissances en Mathématiques, rappelons que 10 exposant 60 est un nombre gigantesque écrit avec un 1 suivi de 60 zéros : il s’agit de millions de millions de millions de millions de millions de millions de millions de millions de millions de millions. Ajoutons à cela des coïncidences étonnantes comme le lien entre le diamètre apparent du Soleil et de la Lune. Tout cela semble dépasser de loin ce qui serait explicable sur le plan des lois mathématiques du hasard et des probabilités, et ce sont des scientifiques qui le disent. C’est par exemple quelque chose qui se situe « au-delà de la chaîne normale des causes et des effets dans l’espace et le temps » selon Arthur Koestler, célèbre romancier mais aussi essayiste, possédant une formation d’ingénieur et qui s’était déjà intéressé à la question dans Les racines du hasard, et selon Sir Alister Hardy, biologiste, professeur émérite de zoologie à l’université d’Oxford, dans leur ouvrage commun Le hasard et l’infini. Ce dernier a même fondé « l'Unité de recherche sur l'expérience religieuse » en 1969, après sa retraite de professeur. D’où l’idée d’un créateur intelligent qui a réglé ces constantes universelles, qui a créé les lois de la Physique qui reposent elles-mêmes sur des règles mathématiques qui faisant dire à Galilée, scientifique s’il en est : « L’Univers est un vaste livre. Il est écrit en langue mathématique, et ses caractères sont les triangles, les cercles et autres figures géométriques ». Notons aussi l’argument de l’information biologique : les structures complexes et l’information contenue dans l’ADN sont parfois interprétées comme des preuves d’une intelligence supérieure. Enfin l’argument de la conscience : la conscience humaine et la capacité de réflexion sont parfois considérées comme des preuves de l’existence d’une âme ou d’un créateur divin. 

Convaincus par l’un ou plusieurs de ces arguments, de nombreux scientifiques penchent donc pour l’existence d’un Dieu. Nous pouvons penser bien sûr au célèbre pari de Pascal, philosophe mais aussi scientifique. Ainsi également la conclusion de Buffon, le grand naturaliste, biologiste et philosophe : « Chaque découverte nous rapproche du Créateur ». Ainsi également celle même de Charles Darwin, pourtant présenté par les plus sceptiques comme la preuve de contradictions avec la Bible mais qui a déclaré : « Jamais je n’ai nié l’existence de Dieu. Je crois la théorie de l’évolution parfaitement conciliable avec la foi en Dieu. Il est impossible de concevoir et de prouver que le splendide et infiniment merveilleux Univers, de même que l’homme, soit le résultat du hasard ; et cette impossibilité me semble la meilleure preuve de l’existence de Dieu ». David Bohm, le grand spécialiste en physique quantique, en physique théorique, en philosophie et en neuropsychologie, qui a notamment participé au projet Manhattan, pense quant à lui que « quelque chose d’analogue à l’esprit existe dans la matière inanimée ». Sous la plume d’un autre scientifique on peut lire également : « Le mathématicien Kurt Gödel a démontré qu’il existera toujours une limite à notre connaissance d’un système car nous faisons nous-mêmes partie de ce système. Pour aller au-delà, il nous faudrait en sortir. nous devons faire appel à d’autres sources de connaissance comme la spiritualité », écrit par exemple Trinh Xuan Thuan, qui fait ce pari à l’imitation de Pascal : « Pour ma part, je suis prêt à parier sur l’existence d’un être suprême ». Et on doit par exemple à Charles Townes, prix Nobel de physique et ancien directeur de la NASA, la phrase : « Je crois fermement en l’existence de Dieu, en me basant sur l’intuition, les observations, la logique et les connaissances scientifiques ».

Les noms cités sont non seulement célèbres mais également loin d’être isolés. Parmi eux se trouvent aussi le grand Galilée, mais encore Newton, qui versait même dans la théologie et le mysticisme, et de nombreux chercheurs, astrophysiciens et cosmologistes du XIXe, du XXe et même du XXIe siècle. Michel-Yves Bolloré et Olivier Bonnassies, dans leur ouvrage Dieu, la Science, les preuves, donnent une liste impressionnante d’autres scientifiques de renom, souvent couronnés d’un prix Nobel, dont la vision a été transformée par les réflexions philosophiques, les dernières avancées de la Science et les arguments que nous avons cités, jusqu’à les faire pencher vers l’existence de Dieu. L’un d'eux, le cosmologiste Pascual Jordan résume en effet les choses ainsi : « Du côté de la science, il n’y a plus d’objections contre un Dieu créateur ». Richard Feynman, prix Nobel de physique, voit par exemple dans la précision d’une constante universelle « la main de Dieu ». Alfred Kastler, autre prix Nobel de physique, inventeur du laser, déclare par exemple : « L’idée que le monde, l’Univers matériel, s’est créé tout seul me paraît absurde ; je ne conçois pas le monde sans un créateur, donc un Dieu ». Il en est de même pour Richard Smalley, prix Nobel de chimie, pour Robert Wilson, prix Nobel de physique et découvreur du rayonnement cosmique, pour Robert Millikan, autre prix Nobel, qui calcula la charge de l’électron et la constante de Planck, ou encore entre de nombreux autres pour Antony Hewish, autre prix Nobel pour sa découverte des pulsars. C’est encore le cas, du fait des observations dans leur domaine respectif, pour Werner Arber, prix Nobel de médecine, pour le neurologue Wilder Penfield, pour la biophysicienne Sarah Woodson etc. William Phillips, encore un prix Nobel de physique, déclare : « Pourquoi l’Univers est-il si incroyablement adapté à l’émergence de la vie ? Et plus encore, pourquoi est-il si minutieusement adapté à notre existence à nous? (…) Cela constitue-t-il une preuve scientifique légitime pour prouver l’existence d’un Créateur intelligent ? Cela se pourrait. » « Au fur et à mesure que nous en apprenons davantage sur notre monde, la probabilité qu’il soit le résultat de processus aléatoires devient de plus en plus faible, de sorte que rares sont les hommes scientifiques d’aujourd’hui qui défendent une attitude athée » explique par exemple aussi Arthur Compton, encore un prix Nobel de physique. Christian Anfinsen, prix Nobel de chimie, lui, va même jusqu’à dire : « je pense que seul un idiot peut être athée. Nous devons admettre qu’il existe une puissance ou une force incompréhensible, dotée d’une clairvoyance et d’un savoir illimités, qui a fait naître l’Univers à l’origine ». Sans même parler de Georges Lemaître, astrophysicien connu pour avoir proposé la théorie du Big Bang et qui était un prêtre catholique, on peut penser également à Arthur Eddington, astrophysicien britannique qui a joué un rôle clé dans la confirmation de la théorie de la relativité générale d’Einstein, ou à John Polkinghorne, physicien qui est devenu prêtre anglican et a beaucoup écrit sur les relations entre la science et la religion, ou encore à Francis Collins, généticien américain qui a dirigé le projet du génome humain et explique que la science doit se réconcilier avec la foi.

En conclusion, difficile alors de ne pas penser à la phrase : « un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup de science y ramène », attribuée à Louis Pasteur, mais que l’on doit peut-être plus sûrement à Francis Bacon avant lui. Dans le même temps les nouvelles conceptions du temps, les travaux sur les différentes dimensions et les découvertes en physique quantique semblent donner de plus en plus de poids aux intuitions des Anciens et des prophètes vues plus haut sur cette page et sur d’autres pages de ce site.

 

 

 

 

 

Pourquoi croire ?

Présentation de la pensée chrétienne, citations principales, belles phrases

Cliquer ici

 

Pensée chrétienne

Liens vers de belles phrases et images inspirantes, tout pour la méditation et la prière

Cliquer ici

 

Belles phrases

Belles phrases de la Bible ou des saints classées selon l’humeur ou le moment

Cliquer ici

 

Belles citations spirituelles

Citations des plus grands noms de la spiritualité chrétienne joliment illustrées

Cliquer ici

 

Les principaux saints chrétiens

Vie et plus belles phrases des principaux saints chrétiens

Cliquer ici

 

Art chrétien

Les plus belles œuvres de l’art du passé, art chrétien contemporain

Cliquer ici

 

Comment prier

Idées, textes et images inspirantes pour structurer sa prière, prières de référence…

Cliquer ici

Pour prier, pour méditer, selon le moment ou au quotidien

Les plus belles phrases issues de la Bible ou des auteurs chrétiens, illustrées par des photos qui s’affichent de façon aléatoire, ludique et inspirante

Cliquer ici

Être chrétien c'est quoi?

 

La méditation chrétienne

Proximités du christianisme avec le bouddhisme et l’islam

Cliquer ici

 

Liens entre les grandes religions

Proximités du christianisme avec le bouddhisme et l’islam

Cliquer ici

 

Le christianisme aujourd’hui

Cliquer ici

 

Retour au sommaire : être chrétien c’est quoi ?

Cliquer ici