LES
PRINCIPAUX SAINTS chrétiens VIE ET BELLES CITATIONS |
Saint
Augustin |
Il vaut mieux suivre le bon
chemin en boitant que le mauvais d’un pas ferme. Ce court précepte t’est
donné une fois pour toutes : aime et fais ce que tu veux; si tu te tais,
tais-toi par amour; si tu parles, parle par amour; si tu corriges, corrige
par amour; si tu pardonnes, pardonne par amour; aie au fond du cœur la racine
de l’amour : de cette racine, rien ne peut sortir de mauvais. La mesure d’aimer Dieu,
c’est Dieu même. La mesure de cet amour, c’est de L’aimer sans mesure. Laisse les racines de l'Amour pousser en toi, car de ces racines ne peuvent fleurir que de bonnes choses. Quand l’amour grandit en
toi, la beauté fait de même. Car l’amour est la beauté de l’âme. Respire en moi, Saint-Esprit, afin que je pense ce
qui est saint. Agis en moi, Saint-Esprit, afin que je fasse ce qui est saint.
Attire-moi, Saint-Esprit, afin que j’aime ce qui est saint. Affermis-moi,
Saint-Esprit, afin que je garde ce qui est saint. Garde-moi, Saint-Esprit,
afin que je ne perde jamais ce qui est saint. Je ne cherche point ma volonté, mais la volonté de
Celui qui m’a envoyé. Il est facile d’avoir des
pensées nobles, facile de jouir des honneurs, facile de prêter l’oreille aux
flatteurs et à ceux qui nous louent. Mais endurer les injures, supporter
patiemment les humiliations, prier pour celui qui nous offense (Mt 5,39.44),
voilà le calice du Seigneur, voilà le banquet du Seigneur. Tu veux devenir grand, commence par être petit. Tu songes à élever un haut bâtiment, pense d'abord à lui donner pour fondement l'humilité. Plus on veut exhausser une construction, plus important doit être un édifice, plus aussi le fondement doit être profond. On s'élève en construisant une demeure, on s'abaisse en creusant les fondations. Aussi peut-on dire que la maison descend avant de monter, et que la grandeur ne vient qu'après l'humiliation. Dieu entend mieux un
sanglot qu’un appel. Homme, éveille-toi :
pour toi, Dieu S’est fait homme. Réveille-toi, ô toi qui dors, relève-toi d’entre
les morts, et le Christ t’illuminera. Pour toi, je le répète, Dieu S’est fait
homme. Tu serais mort pour l’éternité, s’Il n’était né dans le temps. Tu n’aurais
jamais été libéré de la chair du péché, s’Il n’avait pris la ressemblance du
péché. Tu serais victime d’une misère sans fin, s’Il ne t’avait fait cette
miséricorde. Tu n’aurais pas retrouvé la vie, s’Il n’avait pas rejoint ta
mort. Tu aurais succombé, s’Il n’était allé à ton secours. Tu aurais péri, s’Il n’était pas venu. Où est maintenant la mort ?
Cherche dans le Christ, elle n'y est pas ; elle y a été, mais elle est morte
en Lui. Ô vie suprême, vous êtes la mort de la mort. Courage, mes
frères, en nous aussi la mort mourra. Ce qui s'est fait d'abord dans le Chef
se fera aussi dans les membres ; en nous la mort mourra. Ô Toi, donne-moi la force
de Te chercher, Toi qui m’as fait pour Te chercher de plus en plus. Que ce
soit de Toi que je me souvienne, Toi que je comprenne, Toi que j’aime !
Augmente en moi ces trois dons, jusqu’à ce que Tu m’aies reformé tout entier.
Délivre-moi de l’abondance de paroles dont je souffre à l’intérieur de mon
âme : elle n’est que misère devant Ton regard mais elle se réfugie dans
Ta miséricorde. Quand nous T’aurons atteint, nous ne dirons plus ces paroles
que nous multiplions sans T’atteindre. Tu demeureras seul, Tout en tous. Nous
ne dirons sans fin qu’un seul mot, Te louant d’un seul mouvement et ne
faisant nous aussi qu’un seul tout avec Toi. Je t’ai aimée bien tard, Beauté si ancienne et si nouvelle, je t’ai aimée bien tard ! Mais voilà : tu étais au-dedans de moi quand j’étais au-dehors, et c’est dehors que je te cherchais ; dans ma laideur, je me précipitais sur la grâce de tes créatures. Tu étais avec moi, et je n’étais pas avec toi. Elles me retenaient loin de toi, ces choses qui n’existeraient pas, si elles n’existaient en toi. Tu m’as appelé, tu as crié, tu as vaincu ma surdité ; tu as brillé, tu as resplendi, et tu as dissipé mon aveuglement ; tu as répandu ton parfum, je l’ai respiré et je soupire maintenant pour toi ; je t’ai goûtée, et j’ai faim et soif de toi ; tu m’as touché et je me suis enflammé pour obtenir la paix qui est en toi. Cours aux sources, Aspire aux fontaines. En Dieu jaillit la source de la Vie, Une Vie qui ne peut tarir. Dans sa lumière se trouve une Lumière que rien ne pourra obscurcir. Que ton désir aille à cette Lumière que tes yeux ne connaissent pas. L'oeil intérieur se prépare à voir la Lumière, À la Source la soif intérieure brûle de
s'abreuver. Avoir la foi, c'est signer une feuille blanche et permettre à Dieu d'y écrire ce qu'Il veut. |
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